BANQUE DE FRANCE

Portée 1: - Réduction de 9 % des émissions de GES de la Banque de France d'ici à 2020 par rapport à 2014, visant des émissions nettes de 90 900 tonnes équivalent CO2. - Remplacement des chaudières au fioul par des chaudières à gaz ou à condensation et réduction de la durée des essais pour les groupes électrogènes du siège afin de baisser les émissions de GES du fioul de 25 % et celles du gaz de 2,5 %. Portée 2: - En maintenant l'achat d'électricité renouvelable, éviter plus de 6 800 tonnes équivalent CO2 en 2020. - Augmentation prévue de 9 % des émissions liées à l'électricité due à l'ouverture du centre fiduciaire de Paris-La Courneuve. - Mise en place d'éclairage LED, d'interrupteurs avec détecteurs de présence et planification de l'extinction dans le réseau et à Marne la Vallée. - Réduction de 6 % des émissions de GES liées au chauffage urbain grâce à la rénovation thermique au siège. - Investissement de 75 millions d'euros pour moderniser la papeterie, optimiser l'isolation thermique, et diverses mesures pour réduire les consommations énergétiques sans estimation précise des baisses d'émissions à l'horizon 2020. - Projet de réduction de la consommation énergétique pour les nouvelles machines d'impression avec résultats significatifs en GES attendus pour 2023. Portée 3: - Diminution prévue de 17 % des immobilisations informatiques par le remplacement des unités centrales par des mini-PC ou des ordinateurs portables, et le personnel utilisera un seul appareil pour le domicile et le bureau. - Réduction de 11 % des immobilisations bâtiments grâce à la rationalisation des surfaces, fermetures de succursales, et relocalisation dans des espaces plus petits. - Réduction d'environ 12 % des déplacements domicile-travail principalement due à une baisse des effectifs, avec un impact plus marqué sur le réseau suite à l'augmentation du télétravail. - Diminution significative des déplacements professionnels grâce à une nouvelle politique de voyage, l'usage accru de la visioconférence, la formation à distance, et une préférence pour les véhicules moins polluants. - Augmentation prévue de 24 % des émissions de GES liées au transport de marchandises en raison d'une hausse du fret aérien sortant et d'un changement du mode de transport interne des monnaies, avec des actions planifiées pour tenter de réduire ces émissions.